Maispour Spinoza, la prise de conscience dont il est question n’est pas seulement individuelle, elle est une prise de conscience universelle de la nature au travers d’une de ses individualisations. L’homme, dit-il, n’est pas comme un empire dans un empire. L’homme n’est qu’une partie de la nature même si en tant que partie il implique la totalité de la Letitre de cet article est trompeur car Freud ne parle justement plus de conscience, au sens où Descartes ou Kant l'avait définie, mais de psychisme. Chez Freud, la conscience n'est que la surface d'un iceberg entièrement immergé et constitué par le pouvoir de l'inconscient. La conscience n'est que “ce qui est connu de soi-même Maiscela serait absurde : nous l'avons dit, la conscience est le fait de se sentir soi-même, dans ce seul temps qui devient ; elle est l'identité actuelle du sentant et du senti, la tautégorie, la sensation de la sensation, cette seule sensation ; s'il y a conscience, actuellement, lors d'un écoulement donné, il ne peut y avoir vraisemblablement que la Laconscience ne nous trompe jamais a) Tout d'abord, il semble que la conscience de soi, après ce que nous avons dit, ne soit pas toujours du même niveau. Nous avons tous plus L'image de soi est un miroir du moi pluralisé, un véritable obstacle pour la technique voyage astral. Le vrai problème de l'image de soi réside dans le fait que nous sommes identifiés (conscience endormie) dans notre vie quotidienne -bien que nous croyons tous être convaincus du contraire.Le cœur de notre confusion consiste en ce que chaque homme Onretrouve et agrandit l’union : de l’ouïe, du mental, de la conscience, de l’attention, du Soi et du point origine(l) du souffle. Et ce point dépasse, transcende le Soi ; il est le point d’intersection du temps et de l’espace et de la conscience. Il est.CA. (Pas vraiment précis ni clair) EXISTANT. EXISTE. YHWH. 16/04/2001 : J’ai vu « Virgin Suicide Lesdeux thèses de la philosophie cartésienne (la distinction métaphysique de l’âme et du corps et leur union empirique mystérieuse / la transparence de la conscience à elle-même) vont être la cible d’objections constantes qui vont monter qu’il est nécessaire de distinguer la conscience de soi et la connaissance de soi et qu’il ne suffit pas d’être conscient de soi Ilnous incombe de sortir de l’illusion de la séparation de ces différentes réalités et de réinventer les concepts de temps et d’espace suite à cette année 2020 qui a marqué une déstructuration des formes et un retour à soi forcé afin d’initier la transformation des consciences.Jusqu’à présent, nous avions besoin de voir pour croire Dansla conscience réfléchie, le sujet prend de la distance par rapport à ce qu’il a fait pour pouvoir l’apprécier, le juger ; c’est en cela que la conscience est opposition de soi à soi. Or, dans la conscience morale, le sujet revient également sur ce qu’il a déjà posé comme acte pour y porter des jugements de valeur. S’il en est ainsi, toute conscience mensongeet duperie de soi chez Platon (Revue philosophique de la France et de l'étranger 2018) Laetitia Monteils. Download Download PDF. Full PDF Package Download Full PDF Package. This Paper. A short summary of this paper. 37 Full PDFs related to this paper. Read Paper. Download Download PDF. Download Full PDF Package . Translate PDF. Related He6a. Résumé du document La conscience est utilisée d'un point de vue moral mais aussi psychologique. Ainsi, la conscience désigne l'état intérieur d'un sujet mais aussi son devoir. La conscience morale semble fiable dans la mesure où le devoir est compris comme une obéissance à une loi universelle. Cependant, la conscience psychologique s'avère, dès que la notion d'inconscient apparaît, nécessairement trompeuse ... Sommaire IntroductionI Les ambitions de la conscience classiqueII L'ébranlement de l'inconscient freudienIII Qu'est-ce que la conscience ? Extraits [...] Dissertation philosophique La conscience peut-elle nous tromper ? La conscience est utilisée d'un point de vue moral mais aussi psychologique. Ainsi, la conscience désigne l'état intérieur d'un sujet mais aussi son devoir. La conscience morale semble fiable dans la mesure où le devoir soit compris comme une obéissance à une loi universelle. Cependant, la conscience psychologique s'avère, dès que la notion d'inconscient apparait, nécessairement trompeuse. Ainsi, nous verrons tout d'abord les ambitions de la conscience classique pour ensuit évoquer l'inconscient freudien. [...] [...] Ainsi, il nous arrive fréquemment de prendre conscience d'idées sans que nous en comprenions l'origine. Malgré que nous essayions de la trouver et que, par chance, nous la trouvons, il reste néanmoins à comprendre pourquoi telle action a eu tel effet. Dès lors, Descartes trouve pour cause de son attirance envers les personnes louches, son amour de jeunesse qui louchait. Mais ne fait pas part au lecteur du pourquoi son esprit à retenue cette particularité et pourquoi serait-elle la conséquence de cette attirance. [...] [...] Dès lors, l'inconscient qui pénètre dans la conscience risque d'être superficielle et surtout trompeur. C. La conscience est moindre face à l'inconscient Ce qui rend la thèse de l'inconscient vraisemblable, c'est qu'il permet d'expliquer des phénomènes dont seule la conscience est apte à se rendre compte. Ainsi, Freud montre, à travers la théorie des rêves, que leur contenu apparent et leur sens profond sont généralement des choses refoulées par l'homme. De plus, les névroses ne peuvent être soignées uniquement parce que nous connaissons la présence d'un inconscient capable d'influencer leurs comportements Qu'est-ce que la conscience ? [...] [...] La conscience, un effet ? Selon Marx, la conscience ne détermine pas l'existence de l'homme mais c'est l'existence de l'homme qui détermine sa conscience. Ainsi, en pensant que la conscience détermine l'homme, celui-ci se fait beaucoup d'illusions dans la mesure où le sujet est contraint à penser ou agir d'une façon par son appartenance à sa classe sociale. B. Une conscience aliénée Or la conscience collective, autrement dit de classe n'est pas fiable car sen fonction des différentes classes on assiste à une classification des consciences la bourgeoisie pense être seule alors que celle des ouvriers est aliénée. [...] [...] Cependant, cette prise de conscience de soi ainsi que de la nature n'est pas sans conséquence. En effet, elle suppose que l'homme a la possibilité de maintenir le contrôle de soi et de ses réactions face au monde extérieur. C'est en se connaissant le mieux que l'homme pourra maitriser ses réactions. C. La connaissance de soi constitue le sujet Ainsi, la prise de conscience commence indéniablement par le fait de prononcer le je Dès lors, la conscience apparait comme constante à travers tous les changements qu'elle peut subir. [...] La conscience se dit en deux sens la conscience psychologique qui permet d’être soi et d’être présent dans la société, et la conscience morale qui permet dévaluer ses ctes et ses pensées ences qu’elles impliques, le bien et I al u ion du peut-elle » p g reviens à demander recherche. Le verbe t peut être l’induire en nses de la , tromper quelqu’un que chose, être infidèle ou décevoir. Lui-même » reviens à [Homme en général, chaque êtres humains. Alors, l’Homme peut-il être induit en erreur par sa propre conscience ? Tout d’abord, il faut constater que l’Homme peut réfléchir objectivement, c’est à dire prendre du recul avec sa conscience pour evaluer ses actes et ses pensées en fonction de sa morale et des conséquences. En effectuant cela, il peut prendre des décisions en accord avec sa conscience, de plus la fonction de distance distance de la conscience est mise en jeu dans ce processus car IHomme, en évaluant les conséquences de ses actes et pensées, se projette dans le futur, et en effectuant cela, il peut s’orienter en fonction du présent. Il ne peut donc théoriquement pas être induit en erreur par sa conscience morale. De plus, notre conscience permet de douter de choses qui ne sont pas forcément vraie, et donc qui nous trompent. Descartes mis en avant sa théorie du doute radical. Cette théorie nous explicite que l’on peut douter de tout, des théorèmes, de notre présence dans le monde extérieur… Mais une chose est sûre nous sommes conscient de nous-mêmes, donc la conscience ne peut pas nous tromper sur elle-même d’après Descartes. Ensuite, la conscience de soi permet de se sentir soi-même avec les perceptions passés, c’est à dire que nos souvenirs nous permettent de forger notre conscience et notre identité, en effet c’est grâce à notre mémoire qui mémorise nos perceptions passées, nos expériences, que notre conscience se forme, c’est la onction unificatrice de la conscience. Kant Ila défini dans Critique de la raison pure où il explicite que d’après lui, la conscience de soi nous permet de lier différentes perceptions et de les rapporter à un même sujet qui les pense et va les retenir dans sa mémoire. Notre conscience agit donc en fonction de nos expériences, de notre vécu, on ne peut donc pas être induit en erreur par celle-ci. Si la co 2 OF s Si la conscience de l’Homme ne l’induit pas en erreur sur lui- même, pourquoi celui-ci trompe et est trompé ? En effet, à certains moments, l’Homme doit prendre des écisions dans un temps très succinct, n’ayant pas assez de temps pour prendre de la distance avec lui-même, l’Homme s’en remet à ses émotions et perceptions actuelles, comme la colère par exemple, qui peuvent altérer son jugement, ce qui entraîne des décisions subjectives qui ne représentent pas la pensée réelle de l’individu, il est donc induit en erreur par sa conscience. De plus, la conscience peut tromper les sens de l’Homme en lui faisant voir, entendre, ou sentir quelque chose d’irréel. L’illusion d’optique en est un très bon exemple l’Homme voir quelque hose que sa conscience interprète mal, ce qui va déformer la réalité. On peut prendre pour exemple une illusion d’optique dont tout Homme est victime chaque jours la Terre nous parait plate alors qu’en réalité celle-ci est ronde. Cette exemple nous renvoi l’objectivité, pour que notre conscience ne nous trompe pas, il faut s’en écarter, l’exemple de la Terre est identique, pour voir que est la Terre est ronde, il faut s’en écarter. La conscience d’un Homme peut aussi lui mentir, ce qui peut être source de démotivation et qui peut même être dangereux pour la vie de l’individu. L’injonction morale du temple de 3 OF s être dangereux pour la vie de l’individu. L’injonction morale du temple de Delphes Connaît toi toi-même » a prit une nouvelle signification dans notre époque. Pour les grecs, elle signifiait qu’il fallait se mettre à sa place, l’Homme est ignorant, il n’a pas à se prendre pour un dieu. Nous allons plutôt nous intéresser à son sens actuel il faut connaître ses qualités de ses défauts, ce qui sous entend que l’Homme peut se tromper sur lui même à cause de sa conscience, voir trop de qualités ou de défaut en nous est ne preuve que notre conscience nous trompe. Vil y a t’il pas une autre entité de notre être qui peut nous tromper sur nous-mêmes ? En effet, l’Homme peut être induit en erreur par une modalité de sa conscience l’inconscient D’après Leibniz, il y aurait des perceptions inconscientes que notre conscience perçoit mais que celle-ci ne nous communique pas si par exemple elle sont au deçà de notre seuil de perception, que notre conscience choisi de nous communiquer que les perceptions utiles pour nos actions futures ou qu’elle les regroupe en une seule et même perception. On peut prendre pour exemple une chute d’eau, des millions de gouttes deau touchent l’eau ce qui devrait créer des millions de sons, mais nous ne percevons qu’un seul et unique son, donc notre conscience nous trompe. Ceci prouve que notre conscience peut nous changer nos perceptions et donc nous tromper. De plus, l’inconscient peut chasser hors de notre 4 OF S De plus, l’inconscient peut chasser hors de notre conscience accessible, le moi », des pensées, des désirs ou des scènes traumatisantes que l’individu rejette soit par des raisons morales, oit parce que la réalité ne le permet pas, ces pensées ou désirs sont rejeté par un refoulement dans l’inconscient et ceux-ci peuvent refaire surface sous forme de lapsus ou de rêves mais sans que notre conscience s’en souvienne pour autant, ceci montre que notre conscience peut nous cacher des souvenirs, alors que ceux-ci peuvent orienter notre pensée donc la conscience, par le biais de l’inconscient nous induit en erreur sur nous même. N'oubliez pas de cliquer sur les liens des différentes problématiques, afin d'accéder à un choix de textes relatifs à cette problématique particulière. - Est-ce par la conscience qu'il faut définir l'homme ? I. Origine et caractéristiques de la conscience - Que faut-il entendre par "être conscient" ? - Qu'est-ce que prendre conscience ? - Comment sait-on qu'un autre être est conscient ? - La duplicité de la conscience rend-elle inutile l'hypothèse de l'inconscient ? - Est-ce que l'attention est la caractéristique essentielle de la conscience ? - N'exprime-t-on que ce dont on a conscience ? - Quelle relation la conscience entretient-elle avec ses objets ? - La conscience est sélective - La phénoménologie husserlienne a. La thèse de l'attitude naturelle analysée par Husserl b. La phénoménologie husserlienne proprement dite c. La phénoménologie husserlienne par les exemples 3. Subjectivité et objectivité de la conscience - La conscience peut-elle être objective ? - La conscience nous montre-t-elle la réalité telle qu'elle est ? a. Conscience et subjectivité b. La conscience de la réalité - Quels sont les obstacles à la prise de conscience de la réalité ? 4. La conscience médiate ou immédiate ? - Dans quelle mesure peut-on affirmer que la conscience n'est pas un donné mais une tâche ? - "Croyant posséder la conscience, les hommes se sont donné peu de mal pour l'acquérir." Quel sens donner à cette réflexion ? - Sommes-nous conscients ou avons-nous à nous rendre conscients ? - Quelle relation la conscience entretient-elle avec ses objets ? - La conscience ne s'exprime-t-elle que dans la négation ? - Est-ce dans la solitude que l'on prend conscience de soi ? - La conscience de soi suppose-t-elle autrui ? - Pour être soi-même, faut-il se différencier des autres ? - Les autres nous aident-ils à nous connaître ou nous en empêchent-ils ? - Puis-je attendre d'autrui qu'il m'apporte une vérité sur moi-même ? - Suffit-il d'être différent des autres pour être soi-même ? a. Conscience et société - La conscience de l'individu n'est-elle que le reflet de la société à laquelle il appartient ? - Est-on fondé à affirmer l'existence d'une conscience collective ? II. La conscience de soi - Le moi est-il ce qui se cache ou ce qui se manifeste ? - Comment comprendre la notion de vie intérieure ? - Suis-je dans mon corps "comme un pilote dans son navire" ? - Comment sait-on que quelqu'un est conscient de ce qu'il fait ? - La conscience n'est-elle tournée que vers elle-même ? - "La conscience enferme un refus de soi ; on ne connaît de soi que ce qu'on change." Quelles réflexions vous suggère cette pensée d'Alain ? - La question "qui suis-je ?" admet-elle une réponse exacte ? - Être conscient de soi est-ce être maître de soi ? - Pourquoi chercher à se connaître soi-même ? - La conscience immédiate de soi est-elle connaissance de soi ? - "Connais-toi toi-même." À quels obstacles se heurte cette exigence ? - Peut-on se connaître soi-même ? - Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ? - Comment puis-je savoir qui je suis ? - Que peut-on savoir de soi ? - L'homme est-il condamné à se faire des illusions sur lui-même ? - La maîtrise de soi dépend-elle de la connaissance de soi ? - Si la connaissance de soi est utopique, devons-nous pour autant y renoncer ? - Est-il vrai de dire que "l'observation directe de soi est loin de suffire pour apprendre à se connaître " ? - La connaissance de soi peut-elle être sincère ? - La conscience de soi est-elle une connaissance ? b. La conscience véridique ou trompeuse ? - La conscience peut-elle être objective ? - La conscience peut-elle nous tromper ? - Suis-je ce que j'ai conscience d'être ? - Suis-je ce que je crois être ? - Toute conscience de soi est-elle une illusion sur soi ? - La conscience est-elle source d'illusions ? - Peut-on se mentir à soi-même ? - Le moi s'identifie-t-il à la conscience ? - Peut-on ne pas être soi-même? - Suffit-il d'être différent des autres pour être soi-même ? - Doit-on apprendre à devenir soi-même ? - Suis-je le mieux placé pour savoir ce que je suis ? - L'expression " être soi-même " a-t-elle un sens ? - Mon identité dépend-elle de ma culture ? - Prendre conscience de soi, est-ce devenir étranger à soi-même ? - Qu'est-ce qu'une personne ? - Y a-t-il continuité de l'être vivant à la personne ? - Pourquoi dois-je respecter la personne ? - Le respect n'est-il dû qu'à la personne ? - Toutes les personnes ont-elles droit à un égal respect ? - Respecter l'autre, est-ce respecter en lui la personne humaine ? d. La dimension temporelle de l'identité - Suis-je ce que mon passé a fait de moi ? - Peut-on dire qu'on change avec le temps ? - Peut-on dire que je change avec le temps ? - Peut-on changer avec le temps ? - Qu'est-ce que rester soi-même ? 4. Conscience et liberté - La conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ? - Toute prise de conscience est-elle libératrice ? III. La conscience morale - Qu'est-ce qui, en moi, me dit ce que je dois faire ? - Quelle origine assignez-vous à la mauvaise conscience ? - La conscience morale est-elle naturelle à l'homme ? - La conscience morale n'est-elle que le résultat de l'éducation ? - Agir selon sa conscience, est-ce agir selon ses valeurs personnelles ? - Écouter la voie de la conscience, est-ce écouter celle de la raison ? - La conscience morale ne provient-elle que de l'épreuve de la faute ? - Sur quoi ma conscience morale fonde-t-elle sa légitimité ? - Peut-on dire que toute conscience est une conscience morale ? - Qu'y a-t-il à reprocher à la bonne conscience ? - Suffit-il d'avoir bonne conscience pour être innocent ? - Etre maître de soi, est-ce une visée illusoire ? - Peut-on échapper aux exigences de la conscience ? - Suffit-il d'avoir bonne conscience pour être innocent ? - La conscience peut-elle être un obstacle pour l'action ? - Peut-on être immoral sans le savoir ? - Suis-je responsable de ce dont je n'ai pas conscience ? - Suffit-il d'être conscient de ses actes pour en être responsable ? - Pourquoi l'homme peut-il parfois désirer l'inconscience ? - La conscience peut-elle être un fardeau ? - Quel sens peut-on donner à l'expression c'est plus fort que moi ? - L'indignation morale dispense-t-elle de l'analyse ? IV. La conscience en rapport aux autres notions du programme - La conscience de ce que nous sommes peut-elle faire obstacle à notre bonheur ?- L'expérience de l'oeuvre d'art modifie-t-elle la conscience que nous avons du monde ? Date de création 09/12/2005 1701 Dernière modification 08/07/2019 1222 Catégorie Page lue 22037 fois